How to feed 9 billion people in 2050?

The question of the diet of men does not arise in a uniform way. Because throughout the world, our production and consumption patterns are different.

I – Case study : feeding men in Eastern Asia (China/Japan)

A – Ensuring food security in Japan1 – A very varied production, but strong constraints

Doc 1 : Gourmet solitaire (manga – 8 pages)

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The issue of feeding people does not arise evenly. For the world, our ways of production and consumption are different.

=> Description of available food supply.

  • Distribution: cereals, vegetables, fruit, place of fish and fish products in general
  • very varied choice (even the hero does not know all the specialties)

=> Access to food is not a problem, (100 y ≈ 1 euro) when we know that 25% of the world’s population lives on less than 1 euro a day.

=> rich Food, varied and abundant in seafood

Unlike the other countries of the North (USA, Europe, Australia) the Japanese are not in a situation of overeating (average in the north 3 300 kca / hab / day, while 2,500 Kca / hab / day is enough for an average person – which is the case in Japan) due to this high consumption of fish and vegetables, while elsewhere a diet rich in meat and fat causes problems related to overweight especially in the poorest population.

More : https://cahiersdhistoire.net/classe-euro/seconde-euro-geo-dnl-anglais/how-to-feed-9-billion-people-in-2050/

Redécoupage régional en France

http://www.lemonde.fr/politique/article/2014/11/20/l-assemblee-nationale-vote-la-carte-a-13-regions-sans-aucun-changement_4526141_823448.html

L’Assemblée nationale a fini par voter en deuxième lecture, dans la nuit du mercredi 19 au jeudi 20 novembre, la carte à 13 régions inscrite dans la réforme territoriale. La chambre basse du parlement n’a procédé à aucun changement, au grand dam d’un certain nombre de députés critiques, dont une majorité des Alsaciens.

Crate-régions-france

L’article 1er du projet de loi, qui prévoit cette réduction du nombre de régions métropolitaines de 22 à 13, a encore donné lieu à des débats passionnés et transcendant parfois les clivages partisans, pendant environ six heures. Sur la soixantaine d’amendements défendus pour le supprimer ou le réécrire encore, aucun n’a été adopté.

« La carte du gouvernement a été amendée, discutée, transformée dans un dialogue allé à son terme », a plaidé le ministre de l’intérieur Bernard Cazeneuve, en défendant notamment les choix de découpage contestés au nom de la nécessité de donner aux dites régions la « taille critique » nécessaire pour avoir du poids face à d’autres régions européennes.

Observant qu’« aucune carte ne fera jamais l’unanimité » et affirmant que le gouvernement n’entend « ni heurter ni gommer les identités locales », le secrétaire d’Etat à la réforme territoriale André Vallini a appelé à « faire enfin cette nouvelle carte des régions et cette réforme territoriale que les Français attendent ».

« DES BLEUS À L’ÂME »

Le gouvernement avait présenté au printemps une première carte à 14 régions, « dessinée sur un coin de table à l’Élysée » par ses détracteurs, supprimée par le Sénat en première lecture puis rétablie mais à 13 régions par l’Assemblée en juillet.

En seconde lecture fin octobre, le Sénat a porté cette carte à 15 régions, mais les députés sont revenus en commission sur ces modifications la semaine dernière à l’initiative du groupe socialiste en fusionnant de nouveau l’Alsace avec la Lorraine et Champagne-Ardennes, ainsi que le Languedoc-Roussillon avec Midi-Pyrénées.

Les députés mécontents ont échoué dans l’hémicycle à infléchir à nouveau la carte par des amendements « régionaux » qui traversent les groupes politiques. De quoi laisser ainsi des « bleus à l’âme » pour n’avoir pas réussi à obtenir que l’Alsace reste seule, a affirmé l’UMP Laurent Furst. « Dans quelle société peut-on marier les gens contre leur gré ? », s’est exclamé Jean-Luc Reitzer, suppliant notamment le gouvernement de ne pas faire « le jeu des extrêmes » à l’approche d’élections cantonales et régionales.

Des socialistes, tels que Bernard Roman, ont tenté, en vain, contre l’avis de leur groupe de repousser de trois ans la fusion du Nord-Pas-de-Calais avec la Picardie contestée par la maire de Lille Martine Aubry. Des élus de gauche du sud ne sont pas parvenus à défaire l’alliance Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées rétablie en commission, au profit d’une entre le Midi-Pyrénées avec l’Aquitaine entre autres.

Des écologistes à l’UMP en passant par l’UDI, plusieurs élus bretons n’ont pas réussi à reconstituer la Bretagne historique « à cinq départements, en incluant la Loire-Atlantique, enlevée par un décret de Vichy ».

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